Cette pièce est une tragédie moderne, drôle et critique : une déclaration d’amour burlesque à l’île de la Réunion. Elle parle des contradictions sur lesquelles s’est construite et repose la société réunionnaise et offre un accès à une prose en créole qui a nécessité un travail de réécriture en français. Le dernier malbar est également une pièce anticommunaliste qui refuse la partition des êtres et des individualités en sectes, religions ou civilisations d’origine.